Récemment, j'ai vu des analyses suggérant qu'en 2026, nous pourrions faire face à plusieurs crises — effondrement des croyances, bulle de l'IA, pénurie de ressources, conflits géopolitiques. Cela semble effectivement assez pessimiste. Mais le problème est que l'impact de ces facteurs sur le développement à long terme de la blockchain n'est peut-être pas aussi important qu'on le pense. Au contraire, plus une époque est incertaine, plus la valeur de la décentralisation tend à se révéler.

À l'inverse, la situation actuelle de l'IA soulève vraiment des questions dignes d'une réflexion approfondie. Nous savons tous qu'elle peut parler avec assurance, et ses réponses semblent irréprochables. Mais dès qu'il s'agit de scénarios où aucune erreur n'est tolérée, comme la règlementation financière, le diagnostic médical ou les contrats intelligents, cette apparence de "réalité" devient en soi un risque. Pouvoir fournir une réponse raisonnable et pouvoir vérifier qu'elle est correcte sont deux choses différentes. Ce fossé est précisément là où la blockchain peut jouer un rôle.